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le capitaine Christophe Schnetterle du 93e RAM à Varces est mort de ses blessures reçues en Afghanistan lors de la tuerie du 20 janvier 2012

Agé de 45 ans, le capitaine Christophe Schnetterle aura servi la France pendant 26 ans. Cet officier du 93e régiment d’artillerie de montagne s’est éteint aujourd’hui à l’Hôpital d’instruction des armées du Val de Grâce, à Paris des suites de ses blessures reçues le 20 janvier 2012 en Afghanistan sur la FOB de Gwan suites aux tirs délibérés d’un soldat afghan renégat.

Né le 15 août 1966 à Voiron, il s’engage le 1er janvier 1986 en qualité d’élève sous-officier.

Après une carrière dans des Régiments d’Artillerie, il rejoint le 93e régiment d’artillerie de montagne le 1er août 2009 en tant qu’officier instruction au bureau opérations – instruction.

Le capitaine Schnetterle a effectué de nombreuses opérations extérieures et missions de courte durée au cours desquelles son abnégation et ses qualités de chef ont été systématiquement soulignés : Djibouti en 2000, la Guyane en 2001 et 2003, la République de Côte d’Ivoire en 2005, la Martinique en 2006 et le Liban en 2009.

Présent en Afghanistan depuis septembre 2011 au sein d’une équipe OMLT (Operational mentoring and liaison team, équipe de conseillers intégrée au sein d’un bataillon afghan), il a été mortellement blessé le 20 janvier 2012 lors d’un entraînement physique sur la base avancée de Gwan, dans le sud de la Kapisa, par un soldat de l’armée nationale afghane. Cette attaque avait alors tué quatre de ses camarades et quatorze soldats français. Le soldat afghan avait été rapidement arrêté par l’élément d’alerte.

Christophe Schnetterle était marié et père de deux enfants.

Source : Philippe Chapleau.

C’est le 1er français blessé en Afghanistan à mourir sur le sol français (un autre soldat est décédé en Allemagne d’après Jean-Marc Tanguy du Mamouth).

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La photo fournie par le Sirpa terre est manifestement un photo-montage fait avec un logiciel comme Photoshop, le béret et l’uniforme ont été superposés à la photo d’identité du capitaine Christophe Schnetterle.

soirée brésilienne à l’Oriel, à Varces, le 2 mars 2012 à partir de 20h30

L’association Aconchego dont l’engagement en faveur d’enfants de la favela de Varzea au Brésil se poursuit depuis 1985.
Aconchego a besoin de trouver les ressources nécessaires à cet engagement, c’est pourquoi nous organisons :

une soirée aux couleurs du Brésil à l’Oriel, à Varces, le 2 mars

N’hésitez pas, venez passer un bon moment à nos côtés dans une ambiance brésilienne ! Vous participerez ainsi à notre action en faveur des enfants de Varzea.

Nous vous accueillerons à partir de 20h 30 avec un apéritif brésilien, puis un caldinho de feijão et une mousse de maracuja vous seront servis, pendant que des artistes se produiront pour les enfants de Varzea.
Vous pourrez admirer la prestation de danseuses brésiliennes et de danseurs de Kuduro, découvrir la Capoeira et écouter l’orchestre RaBoDeGo jouer du jazz.
Enfin, vous gagnerez peut-être le 1er prix de notre tombola et partirez en voyage une semaine au Maroc accompagné de la personne de votre choix !

Dès à présent, réservez vos places (adultes : 20 €, – 15 ans : 12 €) : en téléphonant au 04 76 72 99 17 ou 06 85 24 14 24
par mail, à mon adresse jeandelastre AT wanadoo.fr

Pour celles et ceux qui ne connaissent pas Aconchego :

Aconchego est une association régie par la loi de 1901, créée en 1985. Elle regroupe près de 150 familles ayant adopté leurs enfants au Brésil, désireuses d’aider sur place des enfants démunis. Pour cela, un centre dont le fonctionnement est pris en charge par Aconchego, accueille chaque jour à Varzea, près de Recife, une quarantaine d’enfants dont les mères connaissent des conditions de vie d’une extrême précarité. Ainsi, ces dernières peuvent travailler tout en préservant l’intégrité familiale. L’objectif de l’association est d’éviter l’abandon, mais aussi de nourrir et soigner les enfants dans les premières années de leur vie tout en apportant soutien et accompagnement aux mères de famille.
Le centre de Varzea c’est :
ü Entre 30 et 40 enfants âgés de 1 à 4 ans accueillis chaque jour, nourris, soignés.
ü Un travail en direction des mères, un partenariat avec la communauté du quartier et les autorités de la ville.
Même si aujourd’hui le Brésil « joue dans la cour des grands », il n’en demeure pas moins l’un des pays les plus inégalitaires du monde, tout particulièrement dans le Nordeste : Les enfants de Varzea ont encore bien besoin d’aide !

Pour en savoir plus : franceaconchego.wordpress.com et capbresil.wordpress.com.

Si vous réservez ou y aller, n’hésitez pas à dire que vous venez de la part de varces.wordpress.com Merci.